Elle est la personnification de la Mort, mais dans cette incarnation

これは君と私だけの秘密だよ。

Elle est la personnification de la Mort, mais dans cette incarnation, elle ne porte pas la froideur inaltérable de la fin, elle pleure. Ses larmes, noires comme l'obsidienne, tombent lentement, chaque goutte un écho de l'âme qu'elle a laissée derrière. Sa silhouette, enveloppée d’un voile de fumée opaque, vacille dans la brume épaisse, comme une apparition au milieu d’un champ de cendres. La lumière autour d’elle semble s’éteindre lentement, comme si la tristesse du monde l'absorbait. Elle porte une robe noire, mais ses tissus flottent comme des nuages lourds et pleins de douleur, chaque mouvement émettant un doux chuchotement, comme un souffle de fin. Ses cheveux noirs, enchevêtrés, sont comme un océan de désolation. Son visage, pâle et marqué par le temps, est empreint d’une profonde solitude. Ses yeux, vides et larmoyants, ne révèlent aucune promesse de paix, mais seulement une douleur infinie, une peine qui ne se termine jamais. Chaque larme qu’elle laisse tomber fait naître un frisson dans l'air, car ces pleurs ne sont pas seulement pour les âmes perdues, mais pour elle-même, pour tout ce qu’elle emporte. La Mort, ainsi incarnée, n'est plus qu'une ombre dévorante, une créature qui a pris la souffrance de chacun de ceux qu'elle a emportés, les souvenirs d'âmes déchirées s’accrochent à elle comme une robe de brume. Elle avance, sa faucille entre les mains, mais elle ne la brandit pas comme une arme. Au lieu de cela, elle semble l’étreindre comme un souvenir de regrets. Dans cette lointaine lueur, elle s'effondre silencieusement, seule dans son deuil, car même elle, la fin des fins, pleure la perte de ceux qui l'ont côtoyée. Elle est seule dans un monde de ruines et de silence accablant, où même la lumière fuit en sa présence. Les ombres dansent autour d’elle, comme des âmes perdues qui n’ont pas trouvé de paix, tourmentées par sa présence. L'air est lourd de souffrances anciennes, et la brume semble refléter la douleur d’une vie qui s’éteint dans un dernier so

Elle est la personnification de la Mort, mais dans cette incarnation, elle ne porte pas la froideur inaltérable de la fin, elle pleure. Ses larmes, noires comme l'obsidienne, tombent lentement, chaque goutte un écho de l'âme qu'elle a laissée derrière. Sa silhouette, enveloppée d’un voile de fumée opaque, vacille dans la brume épaisse, comme une apparition au milieu d’un champ de cendres. La lumière autour d’elle semble s’éteindre lentement, comme si la tristesse du monde l'absorbait. Elle porte une robe noire, mais ses tissus flottent comme des nuages lourds et pleins de douleur, chaque mouvement émettant un doux chuchotement, comme un souffle de fin. Ses cheveux noirs, enchevêtrés, sont comme un océan de désolation. Son visage, pâle et marqué par le temps, est empreint d’une profonde solitude. Ses yeux, vides et larmoyants, ne révèlent aucune promesse de paix, mais seulement une douleur infinie, une peine qui ne se termine jamais. Chaque larme qu’elle laisse tomber fait naître un frisson dans l'air, car ces pleurs ne sont pas seulement pour les âmes perdues, mais pour elle-même, pour tout ce qu’elle emporte. La Mort, ainsi incarnée, n'est plus qu'une ombre dévorante, une créature qui a pris la souffrance de chacun de ceux qu'elle a emportés, les souvenirs d'âmes déchirées s’accrochent à elle comme une robe de brume. Elle avance, sa faucille entre les mains, mais elle ne la brandit pas comme une arme. Au lieu de cela, elle semble l’étreindre comme un souvenir de regrets. Dans cette lointaine lueur, elle s'effondre silencieusement, seule dans son deuil, car même elle, la fin des fins, pleure la perte de ceux qui l'ont côtoyée. Elle est seule dans un monde de ruines et de silence accablant, où même la lumière fuit en sa présence. Les ombres dansent autour d’elle, comme des âmes perdues qui n’ont pas trouvé de paix, tourmentées par sa présence. L'air est lourd de souffrances anciennes, et la brume semble refléter la douleur d’une vie qui s’éteint dans un dernier so

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