Un homme avec un sweat à capuche avec une lumière sur son visage
Aujourd'hui, j'aimerais discuter de quelque chose de stimulant, ça vous tente ?
Dans l'étendue du cosmos, un astronaute solitaire dérive, abandonné, Oublié, son esprit à la dérive. Un tombeau de station spatiale, une demeure solitaire, où règne le silence, Dans le vide, il a marché à grands pas. Seul au milieu des étoiles, il cherchait du réconfort dans l'IA, Brancher son esprit, cherchant des mondes à défier. D'innombrables vies se sont déroulées en quelques secondes, En un clin d'œil, des mondes entiers tourbillonnaient. Il a vécu comme des rois, comme des pauvres, comme esclaves, Dans chaque vie éphémère, il a dansé sur les tombes. À travers les époques et les époques, il a parcouru un large chemin, Un kaléidoscope du temps, pas de répit pour endurer. Pourtant, quand il s'est réveillé de cette folie sans fin, La folie l'a consumé, une mer sans fin. Visages et voix, une cacophonie accumulée, Échos de vies, une éternité dépassée. Dans le silence creux du domaine de la gare, Il a conversé avec des apparitions, un train varié. Chaque visage une histoire, une vie autrefois vécue, Dans cet endroit désolé, leurs histoires passées au crible. Pour eux, il a filé un fil, une histoire à lier, Des voyages cosmiques, d'un esprit troublé. Il a murmuré de la folie, une étreinte glaciale, Et déclaré avec angoisse, cet espace désolé: "rien, même la folie, surpasse le fléau, De la solitude, un vide dépourvu de lumière. Car dans cette vaste étendue, le contact froid de la solitude, Saigne l'âme, ça dévore beaucoup." Les apparitions écoutaient, leur présence est omniprésente, Absorber ses mots, L’essence de la vie. Une morale est sortie de sa langue hantée, Qu'au milieu de l'infini, la solitude piquait. Donc, dans le silence de cette demeure cosmique, Il a parlé aux fantômes, sur la route du temps. La folie à laquelle il a été confronté, mais la solitude est abhorrée, En compagnie spectrale, son réconfort retrouvé, créatures
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In the cosmos' expanse, a lone astronaut drifts,
Abandoned, forgotten, his spirit adrift.
A space station tomb, a solitary abode,
Where silence reigns, in the void, he strode.
Alone amidst stars, he sought solace in AI,
Plugging his mind, seeking worlds to defy.
Countless lifetimes in seconds unfurled,
In the blink of an eye, entire worlds swirled.
He lived as kings, as paupers, as slaves,
In each fleeting life, he danced on graves.
Through epochs and eras, he journeyed wide,
A kaleidoscope of time, no respite to abide.
Yet when he awoke from this endless spree,
Madness consumed him, an endless sea.
Faces and voices, a cacophony amassed,
Echoes of lives, an eternity surpassed.
In the hollow silence of the station's domain,
He conversed with apparitions, a varied train.
Each visage a tale, a life once lived,
In this desolate place, their stories sieved.
To them, he spun a yarn, a tale to bind,
Of cosmic voyages, of a troubled mind.
He whispered of madness, a chilling embrace,
And declared in anguish, this desolate space:
"Anything, even madness, surpasses the blight,
Of loneliness, a void devoid of light.
For in this vast expanse, solitude's cold touch,
Bleeds the soul, it devours much."
The apparitions listened, their presence rife,
Absorbing his words, the essence of life.
A moral emerged from his haunted tongue,
That amidst endlessness, loneliness stung.
So, in the silence of that cosmic abode,
He spoke to phantoms, down the time's road.
Madness he faced, yet loneliness abhorred,
In spectral company, his solace restored,
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